Kim Richardson

© Geneviève Marin

Dès son jeune âge, Kim Richardson débute sa carrière comme actrice et danseuse dans les théâtres de la région de Toronto.

À 20 ans, en 1986, elle remporte son premier prix Juno dans la catégorie Interprète le plus prometteur de l’année avec son single He’s My Lover, et en 1987 décroche un deuxième Juno dans la catégorie Meilleur enregistrement R&B/Soul pour sa chanson Peek-A-Boo. Le tour du chapeau se complète en 1994, avec un Juno pour le Meilleur album Jazz contemporain, enregistré avec le groupe The Merlin Factor.

Au fil des années, Kim chante aux côtés de plusieurs artistes canadiens de renom comme Céline Dion, Corey Hart, Ginette Reno, Diane Dufresne, Lara Fabian, Bruno Pelletier, Roch Voisine, Nanette Workman, Gino Vannelli, ainsi que d’étoiles internationales comme Barry White, Stevie Wonder, Robert Palmer, Murray Head ou encore Michel Fugain.

La première émission télé qui nous l’a fait connaître, Beau et Chaud lui ouvre la route à plusieurs autres : Célébrations, Ti-Mé show, Pour le plaisir, Prière de ne pas envoyer de fleurs, la Fête nationale du Québec à Montréal ainsi que la Fête nationale du Canada, et d’autres. Plus récemment, En direct de l’univers, Belle et Bum, Y’a du monde à messe et elle chante régulièrement l’hymne national pour les Canadiens de Montréal.

En 2006, naît une belle histoire d’amitié musicale avec Grégory Charles, avec qui elle partage la scène comme soliste et choriste à l’émission La cour des grands, Le choc des générations ainsi que dans ses spectacles Music Man, Vintage (dont celui présenté à New York) et Vintage 69.

Très jeune Kim découvrit sa passion pour le théâtre et décrocha quelques rôles au sein de diverses comédies musicales à Toronto. Cette passion l’a suivie jusqu’au Québec, sa terre d’accueil depuis 1988. Depuis, on a notamment pu la voir dans Ain’t Misbehavin, présenté au Centre Segal, ainsi que Hairspray dans le cadre du Festival Juste pour rire.

La discographie de Kim Richardson à titre de choriste se chiffre à un impressionnant 500 albums! Ce n’est qu’en 2006 que le public peut enfin apprécier son œuvre de soliste avec un premier disque intitulé Kaléidoscope. En 2011, Kim nous offre Mes amours, un deuxième album entièrement en français avec une touche jazz.

Encore à ce jour, Kim prête sa voix à plusieurs formations, évènements et spectacles. On peut d’ailleurs l’entendre régulièrement au Dièse Onze en formule jazz.